Imma

« Pendant la formation on ne se rend pas vraiment compte de la chance que l’on a d’apprendre. On ressent beaucoup de fatigue, on a beaucoup de tests à faire, de dossiers à préparer. Cette chance, on ne la mesure qu’après, quand, en mission, on met en application tout ce que l’on a appris. C’était une super expérience côté humain, d’une richesse exceptionnelle, avec 12 ou 13 nationalités différentes dans la promo. »


Miniature de couverture de la lettre d'information Bioforce n°3 Cet article a été publié dans le numéro 3 de la Lettre d’Information Bioforce